COLONIALISME PROCLAMATION ROYALE DE 1763
COLONIALISME PROCLAMATION ROYALE DE 1763
En rupture de stock
chargement..
Shipping policy
Shipping policy
Livraison gratuite partout au Canada pour les commandes de plus de 149 $*
Nous ne sommes pas en mesure de garantir l’expédition à des dates précises. Cela dit, nous travaillerons avec vous si vous faites des demandes spécifiques. L'expédition express peut entraîner des frais supplémentaires.
Frais d'expédition standards
Nous facturons 15$ pour l'expédition partout au Canada.
Quand est-ce que ma commande sera expédiée?
- Les commandes passées sur https://rumorboardshop.com/ seront expédiées dans un délai de 1 à 3 jours ouvrables à compter de la date de passation de la commande.
Expédition à l'extérieur du Canada :
L'expédition à l'extérieur du Canada n'est actuellement disponible que pour les clients américains. L'expédition à l'extérieur du Canada vers les États-Unis coûte actuellement 25 $ CAD.
L'assurance d'expédition
Nous proposons le service SHIP INSURE pour nous assurer que vous êtes couvert et garanti en cas de colis perdu ou volé.
Pour déposer une réclamation, veuillez suivre ce lien : ASSURANCE DU NAVIRE
Envois refusés
- Tous les envois refusés par l'acheteur pour livraison seront facturés en retour. Cela viendra du remboursement.
- Ceci est exempté s’ils ont reçu l’instruction de le faire par le personnel des rumeurs.
*Grind rails et autres obstacles de skate non inclus dans l'offre de livraison gratuite.
Le graphique suivant que le colonialisme examine est l'histoire entourant la Proclamation royale de 1763. Le graphique de la planche à roulettes présente le document original publié par le roi Henri III le 7 octobre 1763. La Proclamation royale a cédé la place au gouvernement de l'Île de la Tortue (Amérique du Nord) qui a été cédée par la France aux Britanniques après la guerre de Sept Ans. La Proclamation royale de 1763 reconnaît les droits ancestraux sur les terres et affirme que ces droits continueront d'exister dans le futur. La Proclamation royale est également appelée « Déclaration des droits des Indiens » ou « Magna Carta indienne » (Proclamation royale). La Proclamation royale a établi le cadre de négociation des traités avec les peuples des Premières Nations vivant sur l'Île de la Tortue. La Proclamation est également mentionnée à l'article 25 de la Loi constitutionnelle canadienne de 1982.
La Proclamation royale définissait les terres à l'ouest des Appalaches comme des terres autochtones et les Américains, ou les colons européens, ne pouvaient pas revendiquer ou s'installer sur ces terres. Bien que certains peuples autochtones et non autochtones vivant au Canada aient déclaré que la Proclamation royale avait été décidée unilatéralement par le roi Henri III et n'avait pas le consentement des peuples des Premières Nations vivant sur l'île de la Tortue. Selon le Dr John Borrows, « les Premières Nations n'étaient pas des objets passifs, mais des participants actifs à la formulation et à la ratification de la Proclamation royale » (Borrows). Les membres des Premières Nations ont contribué de diverses manières à l’élaboration de la Proclamation royale. Les avocats, les universitaires et les peuples autochtones affirment que la Proclamation royale continue d’être valide en droit canadien, car « aucune autre loi ne l’a annulée » (Fondations autochtones).
Le 250e anniversaire de la Proclamation royale a eu lieu en 2013. Le gouvernement canadien de l'époque n'a mentionné la Proclamation royale qu'une seule fois au cours de son mandat. Cet anniversaire a été célébré et les dirigeants des Premières Nations ont déclaré : « Les Premières Nations avaient le droit de rester sur les terres qu’elles occupent, et la Couronne devait protéger ce droit. » Le chef national de l’Assemblée des Premières Nations, Atleo, a ajouté : « La Couronne a promis qu’elle soutiendrait et protégerait les nations autochtones du comportement des gouvernements coloniaux ». Il a également ajouté : « Les relations conventionnelles et les aspirations exprimées dans la Proclamation royale concernent le partage des terres, des richesses et des ressources de ce pays. Cela n’est pas arrivé » (Hall). Le chef du NPD de l'époque, Tom Mulcair, a déclaré que cette célébration était « le 250e anniversaire des promesses non tenues » (MacKinnon).
Ce qui a été fait et ce qui doit encore être fait concernant la Proclamation royale et les traités, ainsi que la relation entre les accords de nation à nation avec la Couronne et les peuples autochtones, reste un problème persistant sur l'Île de la Tortue. Les gouvernements coloniaux, notamment les gouvernements fédéral, provinciaux et municipaux, continuent de violer les droits issus de traités sur l'ensemble des terres en matière de ressources et de partage des terres. Ces droits sont protégés par la Loi constitutionnelle canadienne de 1982, article 35 qui stipule : « 35. (1) Les droits ancestraux et issus de traités existants (titre aborigène [droits de propriété sur les terres], droits d'occuper et d'utiliser les terres et les ressources, tels que les droits de chasse et de pêche, etc.) des peuples autochtones du Canada sont par la présente reconnus et confirmés » ( Constitution canadienne). Les gouvernements coloniaux, les entreprises et les services de police continuent de violer quotidiennement la Loi constitutionnelle canadienne en ce qui concerne les droits autochtones protégés par la Proclamation royale et confirmés dans la Constitution canadienne.
La Proclamation royale dit : « Et considérant qu'il est juste et raisonnable et essentiel à notre intérêt et à la sécurité de nos colonies, que les diverses nations ou tribus d'Indiens avec lesquelles nous sommes liés et qui vivent sous notre protection ne devraient pas être inquiétés ou perturbés dans la possession de telles parties de nos dominions et territoires qui, n'ayant pas été cédées ou achetées par nous, leur sont réservées, ou à l'un d'entre eux, comme terrains de chasse » (Proclamation royale). Les traités numérotés ont été signés avec les Premières Nations et la Couronne, mais dans certaines parties du pays comme la Colombie-Britannique, qui est considérée comme un territoire non cédé et où aucun traité n'a été signé par la Couronne pour permettre aux colons d'occuper ces terres, certains soutiennent qu'elles ne sont pas considérées comme faisant partie de Canada.
La Proclamation royale de 1763 est un document juridique important qu'aucune autre loi du pays n'a annulé. Ce document juridique important a façonné positivement le pays en créant des traités avec la population autochtone et a eu un impact sur le droit canadien. Il est honteux que le Canada et les gouvernements coloniaux l'aient utilisé pour acquérir un contrôle politique total sur le pays, en occupant le pays avec des colons, en volant des terres et des ressources et en continuant à l'exploiter économiquement en ne partageant pas les terres ou les ressources promises en vertu des droits issus des traités. .
Ressources
Emprunts, J. (sd). Wampum à Niagara - Université Simon Fraser. Extrait de https://www.sfu.ca/~palys/Borrows-WampumAtNiagara.pdf
Branche, LS (2022, 29 juin). Lois fédérales codifiées du Canada, les Lois constitutionnelles de 1867 à 1982. Direction des services législatifs. Extrait de https://laws-lois.justice.gc.ca/fra/const/page-13.html
MacKinnon, L. (7 octobre 2013). La « Magna Carta indienne » du Canada fête ses 250 ans | Nouvelles de CBC. CBCnouvelles. Extrait de https://www.cbc.ca/news/politics/royal-proclamation-of-1763-canada-s-indian-magna-carta-turns-250-1.1927667
Hall, A. (2019). Proclamation royale de 1763. Dans L'Encyclopédie canadienne. Extrait de https://www.thecanadianencyclopedia.ca/en/article/royal-proclamation-of-1763
Proclamation royale, 1763. Fondations autochtones. (sd). Extrait de https://indigenousfoundations.arts.ubc.ca/royal_proclamation_1763/#:~:text=The%20Royal%20Proclamation%20is%20a,won%20the%20Seven%20Years%20War